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L’obsolescence programmée, quand l’électroménager rend l’âme en avance

L’obsolescence programmée, quand l’électroménager rend l’âme en avance

Après plusieurs jours de réflexion, vous avez pris votre décision : cette machine à laver sera bientôt la votre. Vous avez passé plusieurs heures à comparer, fouiner, questionner… Vous en avez la certitude, ce modèle est le bon. Après l’avoir installé et utilisé pendant plusieurs mois, il se trouve qu’elle commence à tourner un peu moins rond cette machine à laver… Fuites, problèmes de tambour, programmes capricieux… 

Pas de panique, tout est (presque) normal. A moins que ce ne soit un défaut de fabrication, vous êtes victime de l’obsolescence programmée. Bien loin d’être cantonnée aux machines à laver, elle se retrouver dans tout l’électroménager et les produits high-tech. Heureusement pour vous, vous ne devriez plus avoir ce genre de problème. Vous voulez en savoir plus ? Lisez la suite de l’article.

Une technique douteuse utilisée par les plus grandes marques

Tout le monde a déjà vécu ce type de situation. Une batterie de téléphone non amovible qui rend le téléphone inutilisable, une pièce de téléviseur défectueuse qui la rend obsolète… Des situations anodines en apparence, mais bel et bien programmées par le fabricant. La marque Apple en avait d’ailleurs fait les frais avec ses premiers iPod.

Si vous êtes victime d’une telle situation, il n’existe malheureusement pas de solution miracle. Sachez qu’il est possible de trouver des pièces détachées pour la plupart des appareils, sur Internet. Si vous avez l’âme d’un bricoleur, peut-être qu’il est encore possible de sauver votre matériel.

La pratique de l’obsolescence programmée désormais passible d’une peine de prison

Relayée par le Figaro, l’information à réjoui la plupart des associations de consommateurs. Et il y a de quoi ! Selon certaines études, la durée de vie des appareils pourrait être divisée par deux à cause de cette fraude. Un manque à gagner considérable pour les consommateurs qui en font les frais;

Les peines encourues devraient refroidir les plus téméraires : 300 000 euros d’amende et deux ans de prison. 

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